En 2004, Sochaux veut recruter Níkos Liberópoulos. Arrivé de l’AEK Athènes, l’international grec loue une voiture pour rejoindre le club du Doubs. Sa femme manque d’accoucher sur le parking de Bonal. Au moment de signer son contrat, il s’enfuit à tout jamais.
Cette histoire improbable de transfert avorté est racontée par le président du FC Sochaux-Montbéliard de l’époque Jean-Claude Plessis à la presse locale et par RMC Sport en 2017.
Après l’Euro 2004 qui a vu la Grèce triompher, Sochaux veut recruter Níkos Liberópoulos. L’attaquant international grec qui n’a pas disputé la compétition arrive par avion à Paris. Le joueur de l’AEK Athènes loue une voiture pour rejoindre le club du Doubs avec sa femme enceinte jusqu’aux yeux.
Après des centaines de kilomètres en rase campagne, l’attaquant grec arrive à Bonal sur le parking du stade de Bonal. Le couple voit les usines autour du stade.
« Choc culturel »
C’en est trop. Jean-Claude Plessis, le président du FC Sochaux-Montbéliard de l’époque, parle de « choc culturel », comme le rapporte le journal L’Est Républicain.
Au moment de signer son contrat, Níkos Liberópoulos fait marche arrière et s’enfuit à tout jamais.
Le maillot de Liberópoulos aux couleurs du FCSM et floqué à son nom était prêt. Véritable pièce de musée de cet incroyable transfert avorté, la tunique du « fantôme grec » est depuis lors conservée dans l’un des bureaux de Bonal.
Le club du Doubs recrutera à la place le Brésilien Ilan, pour le plus grand bonheur des supporters de Bonal.
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